Le webinaire de Michel Diaz (Féfaur) et Guillaume de Maison Rouge (Kumullus) pour traiter d’une approche plus que prometteuse, comme l’illustreront les riches et nombreuses applications du vidéo learning augmenté dans le monde de l’entreprise. Ce sera le 5 février à 11h.
L'usage privé de la vidéo a préparé le terrain au vidéo learning
La start-up Kumullus a le vent en poupe ; sa technologie de vidéo learning multiplie des preuves convaincantes au moment où la vidéo s’impose toujours plus dans les programmes de formation. Ces dernières années ont permis de mesurer à quel point la vidéo constitue un attracteur pour les apprenants. En tant que particuliers, ils en ont un usage abondant. Comme consommateurs : deuxième moteur de recherche après Google, YouTube devient un média de formation à part entière, où l’on va chercher comment plaquer un accord de guitare, monter un meuble en kit ou suivre une conférence de Cédric Villani. Comme producteurs aussi : qui n’a pas filmé un événement de la vie quotidienne avec son smartphone ? Résumons : l’usage privé, massif de la vidéo au jour le jour, consommation ou production, a préparé le terrain de l’entrée en force de la vidéo de formation.
Formateurs indispensables
Ne pas s’imaginer à ce qui vient d'être dit que la vidéo "désintermédie" les formateurs, qu'elle les exclut. Au contraire ! Ceux-ci sont indispensables dans le guidage et la réussite d’une tendance qui pourrait ressembler à un raz-de-marée. Notamment parce qu’une vidéo, même prise sur le vif pour capturer un geste métier ou l’interview d’un expert, ne se suffit pas à elle-même. Si elle peut gagner en qualité grâce à un montage approprié, elle doit a fortiori gagner en efficacité pédagogique, en particulier par un enrichissement de médias complémentaires (texte, podcasts, autres vidéos). Pour utiliser une expression des photographes, cet enrichissement donne une nouvelle “profondeur de champ” à la vidéo en permettant à l’apprenant de décider à tout moment de jouer ou pas tel ou tel média qui complète la vidéo, selon le temps qu'il lui reste, le niveau déjà atteint, le besoin de mieux contextualiser ce qu’il est en train d’apprendre…
C’est au formateur qui conçoit le parcours de choisir ou de produire ces compléments, de les attacher au moment le plus opportun de la vidéo initiale, dans un ordre et une logique qui mobilisent tout son savoir pédagogique, et dont la décision pourra donner lieu à des échanges fructueux au sein des équipes formation (on relève au passage une vertu de la vidéo, qui vaut aussi pour les groupes d'apprenants : elle est propice au commentaire, à l'échange). Le vidéo learning ainsi enrichi - selon Kumullus : le “Vidéo Learning Augmenté” - devient un bel exemple de ce que peut le blended learning quand il est orienté sur la vidéo ; une approche dorénavant à la portée de tous les services formation.
Comment réussir votre dispositif blended learning avec du video learning interactif, enrichi et facile à déployer massivement
Qu’elle soit en effet bel bel et bien sortie du laboratoire pour trouver de nombreuses mises en application dans divers champs de la formation, c’est ce que veut démontrer le webinaire Féfaur-Kumullus du 5 février 2019 à 11h : “Comment réussir votre dispositif blended learning avec du video learning interactif, enrichi et facile à déployer massivement.”
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